Après un mois de Février pour le moins éclectique,
l’équipage du Discovery One, mené par le Capitaine Antoine, s’est mis en tête de s’intéresser sur les sorties du mois de Mars. Et, comme à l’accoutumée, ce mois est empli de curiosités pour le moins diverses.
La preuve en est ainsi faite avec le choix des films effectué par nos membres d’équipage. Si le
Commandant Vincent, armé de son Stetson et de ses flingues, est
allé voir de plus près un western appelé Hostiles, le
Capitaine Antoine quant à lui est allé se frotter à
un divertissement révolutionnaire, Ready Player One. En ce qui concerne
l’officier Louis-Valentin et Raphaël, l’un est allé s’aventurer sur
le versant du rire avec The Disaster Artist. Quant à l’autre, il est allé se plonger
en pleine Première Guerre Mondiale avec Le Collier Rouge.
La chevauchée de l’indien Comanche
En premier lieu, nous entendrons s’époumoner l
e Commandant Vincent sur
Hostiles. Western signé Scott Cooper,
met en scène un officier de légende de l’armée américaine, sommé d’escorter, à contre coeur, un indien vieillissant à travers le pays. Cet officier, incarné par un Christian Bale, tétanisant d’intériorité, va alors se découvrir des points communs avec l’indien, qu’il avait pourtant jadis combattu.
Autant dire une virée dans les grandes plaines de l’Amérique ponctuée par des effusions de violence. Egalement une mélancolie omniprésente qui n’a pas manqué de séduire le
Commandant, lequel a même poussé la chansonnette à la fin.
Retour vers les Références
Ensuite, nous entendrons le
Capitaine Antoine. Ce dernier
évoquera, non sans enthousiasme, le nouveau divertissement de Steven Spielberg,
Ready Player One. Ou l’histoire en 2045 d’une Terre exsangue qui s’est réfugiée dans un jeu de réalité virtuel, appelé l’OASIS, lequel à la mort de son créateur devient
le théâtre d’une gigantesque chasse au trésor. Dans cet univers foisonnant, on retrouve ainsi un jeune orphelin qui va découvrir le premier indice menant au trésor tant convoité.
Autant dire un divertissement riche, mélancolique, optimiste, foisonnant et donnant le sourire comme les bonnes vieilles productions de l’époque d’Amblin.
Oh hi James Franco !
C’est ensuite au tour de
Louis-Valentin de s’exprimer sur le cas
The Disaster Artist. Autant dire une anomalie dans le tout venant hollywoodien puisque
le film entend relater le tournage de ce que la profession a retenu comme étant l’un des pires films du monde, The Room. Une odyssée méta-filmique qui se grime en mise en abime du cinéma qui n’a pas manqué de divertir l’
officier. En effet, il a été subjugué par l’humour du film. Tout cela
bien aidé par l’intriguant James Franco, excellent en pseudo-acteur dénué de talent qui va tout faire pour provoquer sa chance, quitte à faire son propre film.
Un film qui manque de chien
Pour finir, l’
officier Raphaël nous contera le malheur qui a été le sien à la vue du film
Le Collier Rouge. Non dénuée d’intéret,
le film entend adapter un roman voyant un officier judiciaire de la Grande Guerre converser avec un ex-soldat détenu après que ce dernier ait été reconnu coupable d’un crime. Fort d’une reconstitution minutieuse, le film a profondément déplu à l’officier, ce dernier n’y voyant qu’un
drame français manquant de profondeur et doté d’une morale enfantine.
Où retrouvez l’équipe du Discovery One ?
Vous pouvez retrouver
tous les mois les rapports de mission de l’équipage. Ils vous y détailleront les films qu’ils ont découvert sur Popcorn. Vous pouvez d’ores et déjà retrouver
leur analyse sur le recyclage au cinéma ainsi que
l’émission consacrée à l’horreur au cinéma.
Vous pouvez retrouver l’équipe sur la page
Facebook de la Webradio ainsi que sur son compte
Twitter.
L’équipage tient à remercier ses partenaires, qui accompagnent cette mission au quotidien :
RCF Lyon et
l’Université Catholique.