Bienvenue dans ce débriefing consacré au film de super-héros. Alors que le Commandant Vincent fait face à des problèmes de gestion du matériel, l’équipage se réuni pour débattre du récent Justice League et de la surproduction de films de super-héros.
Dans un second temps c’est la façon de produire de Warner/DC qui est remise en cause. Il est vrai que les films de Zack Snyder sont souvent retoqués pour se rapprocher de l’esthétique développée dans le MCU (Marvel Cinematic Universe). Le DC Extended Universe (DCEU) souffre à ce niveau de son retard dans le calendrier des sorties, largement dominé par l’écurie Marvel.
Enfin l’équipage s’interroge sur la viabilité de ces modèles d’univers étendus. En effet, outre les films de super-héros, Star Wars, les monstres Universal, Fast and Furious etc… De nombreuses franchises adoptent la stratégie de l’univers étendu à base de suite, spin-off, reboot et autres préquels. Mais cela mène à une uniformisation des blockbusters qui, à terme, pourrait être préjudiciable pour le spectateur et pour l’industrie. Pour exemple, en 2017 c’est pas moins de 6 films de super-héros qui sont sortis dans nos salles.
Les super-héros au cinéma : l’histoire sans fin
Premièrement le Capitaine Antoine, le Major Raphaël, le Lieutenant Louis-Valentin et l’Intendante Pauline discute de la qualité du film Justice League. Globalement le film est une déception pour l’équipage.
Dans un second temps c’est la façon de produire de Warner/DC qui est remise en cause. Il est vrai que les films de Zack Snyder sont souvent retoqués pour se rapprocher de l’esthétique développée dans le MCU (Marvel Cinematic Universe). Le DC Extended Universe (DCEU) souffre à ce niveau de son retard dans le calendrier des sorties, largement dominé par l’écurie Marvel.
Enfin l’équipage s’interroge sur la viabilité de ces modèles d’univers étendus. En effet, outre les films de super-héros, Star Wars, les monstres Universal, Fast and Furious etc… De nombreuses franchises adoptent la stratégie de l’univers étendu à base de suite, spin-off, reboot et autres préquels. Mais cela mène à une uniformisation des blockbusters qui, à terme, pourrait être préjudiciable pour le spectateur et pour l’industrie. Pour exemple, en 2017 c’est pas moins de 6 films de super-héros qui sont sortis dans nos salles.